Mis à jour le 16 septembre 2025
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20 min de lecture

Meilleur placement bancaire : où placer son argent en 2025 ?

Marre des livrets qui dorment ? Profite des placements bancaires rentables de 2025 pour faire travailler ton argent en toute sécurité.
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Vous vous demandez quel placement bancaire rapportera le plus en 2025 ? Quel support allie sécurité et rendement net d’inflation ? Comment optimiser la fiscalité de vos intérêts sans sacrifier la liquidité ?

Pour 2025, le meilleur placement bancaire combine un matelas de sécurité sur un livret réglementé (Livret A ou LDDS) pour garantir la liquidité, un fonds euros nouvelle génération à 3 % net pour sécuriser l’épargne avec effet cliquet, et une poche dynamique via un PEA investi en ETF à faibles frais (0,20 %–0,30 %) pour capter la performance des marchés actions. Cette allocation multi‐supports protège votre capital, génère un rendement supérieur à l’inflation et bénéficie d’avantages fiscaux (abattement après 8 ans pour l’assurance-vie, exonération PEA), tout en restant accessible dès quelques centaines d’euros.

Dans ce guide, vous découvrirez :

  • Les critères pour choisir le support adapté à votre profil et horizon
  • Les rendements et fiscalités comparés des livrets, fonds euros et comptes à terme
  • Les atouts d’un PEA ETF pour booster vos gains nets
  • Les erreurs à éviter et conseils de suivi régulier

Prêt à optimiser votre épargne ? Ne perdons pas de temps et explorons ensemble les meilleurs placements bancaires pour 2025 !

Comment choisir un placement bancaire adapté à votre profil ?

Avant de décider où loger vos économies, identifiez d’abord votre tolérance au risque : elle conditionne le meilleur placement pour atteindre vos objectifs sans stress. Cette étape mesure votre capacité à absorber des baisses provisoires, analyse revenus et charges futures, et précise vos projets. En évaluant ces paramètres, vous écartez les solutions inadaptées et gagnez en cohérence patrimoniale.

  • Profil prudent : capital garanti primordial, liquidité rapide non négociable.
  • Profil équilibré : légère volatilité acceptée contre rendement supérieur à l’inflation.
  • Profil dynamique : part actions élevée, diversification internationale indispensable.
  • Contrainte fiscale : taux marginal d’imposition et prélèvements sociaux orientent le choix.

Une fois ce diagnostic posé, fixez votre horizon de placement. Pour une durée inférieure à trois ans, privilégiez les livrets réglementés ; entre trois et huit ans, associez fonds euros et obligations de qualité ; au-delà, complétez avec actions ou pierre papier. Cette cartographie temporelle réduit le risque d’abandon prématuré et maximise la valeur nette créée. Pour affiner votre choix dans la catégorie des livrets, consultez notre comparatif du meilleur livret bancaire.

Les placements bancaires les plus sûrs pour protéger votre capital

Si votre priorité est de préserver chaque euro confié à votre banque, tournez-vous vers un placement sans risque. Ces solutions encadrées par l’État ou couvertes par le Fonds de garantie offrent un capital 100 % sécurisé, une liquidité rapide et une visibilité claire sur la rémunération. Choisir le bon support suppose pourtant de comparer plafonds, fiscalité et évolution des taux directeurs.

Guide des placements bancaires 2025 : du plus sûr au plus dynamique
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Placement Niveau de risque Rendement 2025 Plafond / Ticket min. Liquidité Fiscalité Points clés
Livret A Très faible 3,00%* 22 950 € Immédiate Exonéré Capital garanti, taux indexé inflation
LEP Très faible 5,00%* 10 000 € (sous conditions) Immédiate Exonéré Réservé ménages modestes, meilleur taux
LDDS Très faible 3,00%* 12 000 € Immédiate Exonéré Transition écologique et solidaire
Compte à terme Très faible 2,5% à 3,3% Dès 1 000 € Bloqué (échéance) PFU 30% Taux garanti, idéal projets datés
Fonds euros assurance-vie Très faible 3,10% net Dès 150 € 8 jours Avantageuse (après 8 ans) Capital garanti, effet cliquet
PEL Faible 2,50% brut 61 200 € 4 ans minimum PFU 30% Droit au prêt immobilier bonifié
SCPI Faible 4% à 5% Dès 200 € Variable PFU ou IR + PS Immobilier professionnel mutualisé
Fonds obligataires Faible 4% nets visés Dès 100 € Immédiate PFU 30% Sensibles aux taux directeurs
PEA / ETF Actions Modéré 6% à 8% (LT) 150 000 € (PEA) Immédiate Exonéré (après 5 ans) Horizon long terme obligatoire
Crowdfunding immobilier Modéré 7% à 9% Dès 100 € 12 à 36 mois PFU 30% Diversification impérative (20 projets min.)
Private equity (FCPR/PER) Élevé 8% à 10% TRI Dès 1 000 € 10 ans Variable (PER déductible) PME françaises, horizon retraite
Crypto-actifs Très élevé Variable ++ Dès 10 € Immédiate PFU 30% 5% allocation max., hardware wallet
💡 Analyse d'expert

En 2025, la remontée des taux redonne enfin de l'attractivité aux placements traditionnels, avec des comptes à terme qui redeviennent compétitifs face à l'inflation. Nous recommandons une approche par paliers : sécurisez d'abord vos liquidités sur les livrets réglementés avant d'explorer les supports intermédiaires comme les SCPI ou les fonds obligataires. Pour les investisseurs avec un horizon long, l'allocation en ETF via PEA reste le meilleur rapport rendement-fiscalité, mais n'oubliez jamais la règle d'or : ne jamais mettre tous ses œufs dans le même panier, même doré.

Livret A, LDDS, LEP : quelles différences, quels plafonds ?

Les livrets A, LDDS et LEP constituent le cœur de l’épargne réglementée française. Tous sont rémunérés par la Banque de France, exonérés d’impôt et de prélèvements sociaux, et garantissent le capital. Le Livret A (plafond : 22 950 €) finance logement social et infrastructures. Le LDDS (plafond : 12 000 €) soutient la transition écologique et solidaire. Le LEP, réservé aux ménages modestes, propose un taux supérieur et un plafond de 10 000 €. Vous vous demandez où placer votre argent quand le Livret A est plein ? Découvrez nos options alternatives ici.

  • Accessibilité : ouverture possible dans toute banque ou en ligne.
  • Liquidité : retraits libres, fonds disponibles sous 48 h.
  • Taux révisés deux fois l’an selon l’inflation.

Au-delà des plafonds, surveillez le taux du livret : depuis février 2025, il est indexé à 60 % de l’inflation hors tabac, assurant un rendement réel légèrement positif, mais insuffisant pour des projets à long terme.

Comptes à terme : pour un rendement garanti sans surprise

Le compte à terme combine dépôt unique, durée fixe (trois mois à cinq ans) et capital garanti. Les taux, négociés à l’ouverture, grimpent jusqu’à 3,3 % brut sur vingt-quatre mois chez les banques mutualistes. Les intérêts sont fiscalisés au PFU (30 %) mais aucune fluctuation de valorisation n’intervient. L’absence de frais et la protection Fonds de garantie jusque 100 000 € font du CAT un instrument idéal pour stationner une trésorerie d’entreprise ou sécuriser l’apport d’un futur achat immobilier, à condition d’accepter l’illiquidité jusqu’à l’échéance. Pour comparer les offres, consultez ce comparatif du meilleur compte à terme.

Fonds euros d’assurance-vie : stabilité et cadre fiscal avantageux

Les fonds euros nouvelle génération sécurisent l’épargne grâce à la réserve de rendement constituée par l’assureur et bénéficient d’une fiscalité avantageuse après huit ans (abattement annuel de 4 600 € de gains pour une personne seule). Le taux 2024 s’établit à 3,10 % net de frais de gestion pour les contrats en ligne, grâce à une allocation diversifiée (obligations, immobilier, titres verts). Capital garanti, effet cliquet et disponibilité sous huit jours offrent une solution d’attente performante. Pour dynamiser la rémunération, versez 30 % en unités de compte durables tout en conservant le socle défensif du fonds euros. Si vous cherchez des rendements garantis, jetez un œil à notre comparatif des meilleurs placements à intérêt composé.

Les placements intermédiaires pour allier rendement et prudence

Quand vos objectifs requièrent davantage qu’un simple matelas de sécurité sans tomber dans la spéculation totale, les produits bancaires intermédiaires jouent le rôle d’amortisseur et de tremplin. Ce placement financier conjugue protection du capital sur le court terme et potentiel de rendement supérieur à l’inflation, à condition de sélectionner des supports cohérents avec votre horizon, votre fiscalité et votre appétence au risque.

PEL et CEL : réservés aux projets immobiliers, mais encore utiles ?

Le compte épargne logement (CEL) et son grand frère le Plan épargne logement (PEL) gardent leur attrait pour tout épargnant préparant l’achat ou la rénovation d’un bien immobilier dans cinq à dix ans. Leur mécanique est limpide :

  • Taux de rémunération fixes et garantis pendant toute la durée du plan ;
  • Plafonds de versement : 61 200 € pour le PEL, 15 300 € pour le CEL ;
  • Droit à un prêt immobilier bonifié lorsque la phase d’épargne se termine.

La revalorisation 2024-2025 a porté le PEL de nouvelle génération à 2,5 % brut, tandis que le CEL sert 2 % nets d’impôt sur le revenu. Si la fiscalité PFU s’applique dès la première année, la garantie du taux constitue un vrai bouclier contre un retour des taux bas. Attention : retirer avant quatre ans fait disparaître la prime d’État et réduit la durée du prêt, il s’agit donc d’un outil calibré pour l’horizon médian. Pour savoir ce qu’il advient de votre Plan Épargne Logement après 10 ans, lisez notre article sur le PEL après 10 ans.

SCPI : accès simplifié à l’immobilier avec ticket réduit

Adossées à un parc immobilier tertiaire ou résidentiel géré par des professionnels, les SCPI représentent la forme la plus accessible de pierre papier. Avec un ticket d’entrée souvent inférieur à 200 €, l’épargnant mutualise le risque locatif sur des centaines de baux. Les rendements distribués atteignent 4 % à 5 % nets en 2024 ; cependant ils restent soumis aux prélèvements sociaux et à une éventuelle revalorisation à la baisse du prix des parts. Pour limiter la volatilité, privilégiez des véhicules diversifiés géographiquement, disposant d’un taux d’occupation financier supérieur à 90 % et d’un report à nouveau confortable. Loger les parts dans un contrat d’assurance-vie permet en plus d’amortir la fiscalité grâce à l’abattement après huit ans. Pour un ticket d’entrée modeste, découvrez comment investir 15 000 euros dans l’immobilier papier.

Fonds obligataires : un compromis intéressant en 2025 ?

En 2025, les fonds obligataires redeviennent incontournables, car ils offrent un rapport rendement / risque de perte enfin équilibré après des années de taux plancher. La normalisation monétaire permet de viser 4 % nets sur des portefeuilles investment-grade dotés de maturités courtes et d’une duration inférieure à quatre ans. Cependant, la sensibilité aux annonces de la Banque centrale européenne reste réelle ; un cycle haussier prolongé pénaliserait la valeur liquidative. Optez pour des fonds à échéance datée, frais courants sous 0,6 %, et privilégiez les gestions couvrant au moins 30 % de titres verts pour associer performance et impact. Pour un guide complet sur les stratégies obligataires, consultez notre guide d’investissement rentable.

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Les placements dynamiques pour booster son épargne

Lorsque votre horizon dépasse dix ans et que vous acceptez la volatilité comme carburant de croissance, intégrer un placement bancaire dynamique à votre portefeuille devient incontournable. Ces solutions maximisent le potentiel de rendement, mais exigent méthode, sang-froid et diversification rigoureuse.

PEA et compte-titres : actions, ETF et fiscalité optimisée

Le PEA et le compte-titres forment la colonne vertébrale de la stratégie actions. Le premier offre, après cinq ans, une exonération totale de plus-values, tandis que le second permet toutes les opérations, y compris les couvertures via options. Pour savoir s’il vaut mieux opter pour un PEA ou un PEL, toutes les clés sont dans cet article : PEA ou PEL. Pour un investisseur modéré, une allocation de 40 % en ETF monde suffit :

  • Indices MSCI ACWI à faible coût ;
  • Thématiques bas carbone ou transition énergétique ;
  • Exposition aux small caps européennes via un compte titres pour profiter du rebond domestique.

Ajoutez 10 % de dividendes aristocrates américaines pour la stabilité et 10 % d’ETF émergents pour la croissance démographique. Versements programmés mensuels, rééquilibrages semestriels et arbitrages chronologiques sont vos meilleurs alliés. Respectez toujours le plafond PEA de 150 000 € ; au-delà, ouvrez un PEA-PME ou utilisez le compte-titres classique afin de continuer à diversifier sans contrainte géographique.

Crowdfunding immobilier : des rendements élevés à court terme

Le crowdfunding immobilier séduit par des coupons de 7 % à 9 % sur 12 à 36 mois, mais la prise de risque demeure : retards de chantier, hausse des coûts ou défaillance du promoteur peuvent rogner le capital. Réduisez cette incertitude en :

  • Diversifiant au minimum vingt projets sur différentes régions ;
  • Vérifiant la garantie à première demande et les sûretés réelles ;
  • Exigeant un historique de réussite supérieur à 90 % sur la plateforme.

La fiscalité se règle via le PFU de 30 %, mais certains dossiers peuvent être logés dans un PEA-PME pour alléger la note. Limitez l’allocation à 10 % du patrimoine et réinvestissez les remboursements pour maintenir une rotation équilibrée, tout en conservant un fonds de roulement liquide. Pour sortir des circuits bancaires classiques, découvrez quel placement financier hors des banques convient le mieux.

Crypto-actifs : opportunité ou risque en 2025 ?

Les crypto-actifs proposent un potentiel de croissance hors norme, mais une perte en capital totale reste possible en cas de piratage, de hard fork chaotique ou de régulation hostile. Cantonnez l’allocation à 5 % du portefeuille diversifié, conservez les clefs privées dans un hardware wallet et concentrez-vous sur les actifs dépassant 10 milliards de dollars de capitalisation avec un volume quotidien conséquent. Depuis 2024, la fiscalité française applique le PFU de 30 % sur les plus-values lors de la conversion en euros. Un DCA hebdomadaire amortit les swings et prévient la tentation de market timing, tandis que le staking ou le lending sur blockchains majeures ajoute un revenu passif supplémentaire. Pour une vision globale, retrouvez où investir son argent en 2025.

Private equity : investir dans les PME françaises via FCPR ou PER

Le capital-investissement, via FCPR ou PER individuel, finance directement le tissu économique français et prépare votre épargne retraite. Tickets dès 1 000 €, horizon de dix ans, objectif de 8 % à 10 % de TRI annualisé. Pour comparer les meilleures stratégies de placement financier, consultez notre comparatif du meilleur placement financier. La contrepartie : liquidité quasi nulle et valorisation estimée seulement chaque trimestre. Diversifiez sur plusieurs millésimes, privilégiez les fonds axés sur des PME non cycliques et contrôlez les frais de gestion et de carried interest (20 % au-delà de 8 % de TRI reste acceptable). Placer ces parts dans un PER capitalisant permet de cumuler la déductibilité des versements et la sortie en rente viagère partiellement imposée, tout en bénéficiant d’un reporting extra-financier renforcé.

Les meilleurs placements bancaires ne sont pas toujours ceux des banques

Contrairement à une idée reçue, le conseil délivré au guichet n’est pas toujours le plus pertinent : les produits maison servent d’abord la marge de la banque. Connaître le plafond de versement et le délai de disponibilité de chaque solution vous permet de comparer objectivement, de négocier les frais et, in fine, de diriger votre épargne vers le support le plus efficient. Vous disposez d’un gros capital ? Voici où placer 200 000 euros pour optimiser rendement et sécurité.

Pourquoi les banques classiques ne proposent pas les meilleures performances

Les établissements traditionnels dominent encore la distribution, mais leur catalogue standard occulte souvent les options les plus rentables. Trois freins l’expliquent :

  • Priorité donnée aux produits à forte commission plutôt qu’aux comptes à frais réduits ;
  • Processus d’innovation lent, freinant l’adoption de supports responsables ou à faible taux de rémunération ;
  • Systèmes informatiques datés, incapables d’industrialiser l’accès aux ETF ou aux obligations à frais minimes.

Résultat : le rendement net est amputé, la liquidité imposée par la banque reste faible, tandis que les tickets d’entrée renchérissent l’accès. Sans oublier les frais de tenue de compte, d’inactivité et d’ordre boursier, parfois supérieurs à 0,50 %. Un particulier qui compare régulièrement les offres constate jusqu’à 1,2 % d’écart annuel, soit 12 000 € de capital de moins sur vingt ans pour un placement de 50 000 € soumis aux prélèvements sociaux. Cette différence, invisible à court terme, devient décisive lorsqu’elle s’accumule sur plusieurs décennies.

Alternatives bancaires : fintechs, néo-banques et plateformes spécialisées

Heureusement, l’écosystème financier français a vu éclore une génération d’acteurs digitaux qui cassent les marges sans sacrifier la sécurité :

  1. Fintech d’épargne automatique : arrondis sur achats et OPC à faible frais ;
  2. Néo-banques avec carte Mastercard verte et accès aux ETF en trois clics ;
  3. Plateformes de robo-advisors qui ajustent votre profil en unités de compte ISR ;
  4. Courtiers obligataires en ligne spécialisés sur les titres d’État indexés.

Ces structures sont régulées par l’ACPR, couvertes par le FGDR et proposent souvent une banque postale virtuelle ouverte 24 h/24. Leur atout majeur : frais divisés par deux, reporting en temps réel et automatisation du rééquilibrage. En mutualisant la donnée au cloud, elles réduisent les coûts opérationnels et répercutent l’économie sur le client, tout en offrant un placement sécurisé grâce au fonds de garantie. Vous envisagez d’investir à l’étranger ? Cet article explique comment investir à l’étranger.

Pourquoi investir en 2025 ? Tendances et enjeux

Investir en 2025, c’est profiter d’une conjoncture inédite : taux réels redevenus positifs, accélération de la transition écologique, digitalisation des services financiers et regain d’appétit pour l’innovation. Les nouvelles règles prudentielles renforcent la transparence des coûts, tandis que les gouvernements multiplient les incitations fiscales à orienter l’épargne vers l’économie productive. Ignorer ce momentum reviendrait à laisser l’inflation grignoter votre pouvoir d’achat et à passer à côté de bonus fiscaux généreux.

  • Énergies renouvelables portées par le Pacte Vert européen ;
  • Relance budgétaire française ciblée sur la rénovation thermique ;
  • Digitalisation accélérée des PME financée par Bpifrance ;
  • Nouveaux plafonds du PEA et du PER relevés de 10 %.

Ces catalyseurs convergent alors que la banque centrale européenne stabilise sa politique monétaire. L’euro plus fort, un coût du capital contenu et un plan de relance ciblé sur l’industrie verte ouvrent un nouveau cycle de création de valeur. Les actions dividendes, obligations vertes et ETF factoriels devraient tirer parti de ces flux internationaux à la recherche d’actifs durables. Structurer votre patrimoine dès maintenant garantit un développement aligné sur les grandes mutations économiques. Pour évaluer la rentabilité de votre épargne, découvrez combien rapportent 100 000 euros placés par mois.

Étapes pour mettre en place un placement bancaire performant

Avant d’engager le moindre euro, une bonne mise en place consiste à structurer les étapes comme le ferait un chef de projet : diagnostic, choix des outils, puis suivi. Cette méthode évite les erreurs coûteuses et garantit que chaque produit serve un objectif précis plutôt que d’encombrer votre portefeuille.

Fixer vos objectifs et votre horizon d’investissement

Tout débute par l’épargne de précaution : six mois de dépenses courantes placés sur un livret liquide. Viennent ensuite les projets à moyen et long terme. Clarifiez : montant cible, durée et tolérance à la volatilité.

  • Court terme : préparer un voyage ou un déménagement.
  • Moyen terme : constituer un apport immobilier.
  • Long terme : financer les études des enfants ou la retraite.

Réunissez ces éléments dans un tableau simple ; il deviendra votre boussole pour arbitrer entre produits garantis et dynamiques.

Choisir les bons produits et supports en fonction de votre profil

Une fois la cartographie établie, sélectionnez les supports : livret A pour le matelas, fonds euros pour stabiliser, ETF actions via des unités de compte pour la croissance. Ajustez la répartition selon votre profil : 80 % défensif pour le conservateur, 40 % pour l’équilibré, 20 % pour le dynamique. Vérifiez les frais d’entrée, les clauses de rachat et la notation extra-financière si vous visez l’investissement responsable. La clé : un couple rendement/risque cohérent, pas la performance brute isolée.

Suivre et ajuster votre stratégie régulièrement

Planifiez un point semestriel pour contrôler rendement, dérive des allocations et incidence de l’impôt sur le revenu. Si une classe d’actifs dépasse de 5 % sa cible, rééquilibrez. Comparez les frais prélevés aux benchmarks de marché ; renégociez au besoin. Enfin, tenez un journal d’investisseur : noter vos décisions et leurs motivations améliore la discipline et évite les mouvements dictés par l’émotion.

FAQ – Vos questions fréquentes sur les placements bancaires

Ce guide se clôt par une série de réponses claires pour transformer la théorie en placement sécurisé. Les points abordés reflètent 90 % des interrogations que nous recevons ; vous disposez ainsi d’un concentré d’expertise prêt à l’emploi.

Il n’existe pas de solution universelle ; tout dépend de votre profil et de vos objectifs. Pour un épargnant prudent, le duo assurance vie fonds euros + livret réglementé reste imbattable. Pour un dynamique, un PEA rempli d’ETF climat complète idéalement le socle sécurisé. Le meilleur placement est donc celui qui combine sécurité, rendement net d’inflation et fiscalité optimisée dans votre situation personnelle.

Aujourd’hui, le livret A n’est plus seul en lice. Le LEP, réservé aux revenus modestes, sert un taux supérieur tout en conservant la même garantie de l’État. Pour les gros encours, certains comptes à terme à deux ans atteignent 3 % brut. L’essentiel est de vérifier la protection FGDR jusqu’à 100 000 € par déposant et de comparer les taux nets après prélèvements sociaux.

Le plafond du livret A reste fixé à 22 950 €, celui du LDDS à 12 000 € et celui du LEP à 10 000 €. Ces limites concernent uniquement le capital : les intérêts versés peuvent s’ajouter au-delà sans déclencher de blocage. Lorsque vous atteignez ces seuils, basculez le surplus vers un compte à terme court ou un fonds euros pour éviter la dilution du rendement.

La règle d’or est d’analyser les frais de gestion et l’assiette imposable. Fonds euros : abattement après huit ans puis PFU à 30 %. SCPI : revenus fonciers taxés à la tranche marginale + prélèvements sociaux. PEA : exonération totale des plus-values après cinq ans hors cotisations sociales. Crypto : PFU de 30 % lors de la conversion en euros. Adaptez la poche taxable à votre tranche marginale pour lisser la facture.

Les établissements historiques offrent la proximité mais rarement les meilleurs tarifs. Une plateforme régulée peut réduire de moitié les commissions, surtout sur les ordres boursiers. Vérifiez la solidité financière ; un acteur comme crédit agricole à faible coût d’exécution ou une fintech sous licence bancaire répondent à la même réglementation ACPR et bénéficient du FGDR. Choisissez donc selon le rapport prix/service plutôt que par habitude.

Oui : les robo-advisors acceptent des versements dès 50 € et certains ETF fractionnés démocratisent l’accès aux marchés. Pour l’épargne sécurisée, un livret jeune ou un LDDS reste la porte d’entrée. Côté diversification, privilégiez les plans d’épargne programmés mensuels ; ils lissent la volatilité et inculquent une discipline d’investisseur tout en limitant les frais proportionnels.

À court terme, rien ne surpasse le livret de développement durable, liquide, défiscalisé et garanti par l’État. Pour viser la croissance à long terme, orientez-vous vers un PEA rempli d’ETF monde, complété de 10 % de small caps. Le couple reste équilibré : capital protégé pour les urgences, exposition actions pour la performance.

Appliquez une règle de diversification proportionnelle à vos objectifs : 10 % en liquidités, 30 % en fonds euros, 40 % en actions globales via ETF, 10 % en immobilier (SCPI) et 10 % en actifs satellites (private equity ou crypto). Rééquilibrez chaque année en vendant les classes surpondérées pour racheter les sous-pondérées ; cela discipline vos décisions et maximise le rendement ajusté du risque.

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⚠️ Informations importantes

Online Asset fournit des informations éducatives, pas de conseil en investissement personnalisé (CMF art. L.541-1). Risque de perte en capital ; les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Pour toute décision d'investissement, consultez un conseiller financier agréé qui pourra évaluer votre situation personnelle.

Contenu rédigé par l'équipe éditoriale d'Online Asset.
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