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29/04/2025
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Suppression du Golden Visa en Espagne : quelles solutions pour les investisseurs ?

Fin du golden visa en Espagne actée pour 2025 : investisseurs, quelles solutions de repli adopter rapidement pour sécuriser un titre de séjour européen ?
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suppression golden visa espagne 2025

Vous envisagez d’investir en Espagne pour obtenir un titre de séjour ? Vous vous demandez si le programme Golden Visa est encore accessible en 2025 ? Quelles sont les alternatives désormais possibles pour obtenir la résidence espagnole sans passer par l’investissement immobilier ?

La suppression du Golden Visa en Espagne est effective depuis le 3 avril 2025 : il n’est plus possible d’obtenir un permis de séjour par un achat immobilier de 500 000 €. Seules les demandes déposées avant cette date sont encore examinées. Les investisseurs doivent désormais se tourner vers d’autres solutions, comme le visa non lucratif, le visa pour nomades numériques ou le visa entrepreneur, pour obtenir la résidence en Espagne légalement.

Dans cet article, vous découvrirez :

  • Pourquoi l’Espagne a supprimé son Golden Visa
  • Les profils directement impactés par cette réforme
  • Les nouvelles options pour vivre en Espagne en 2025
  • Où investir en Europe après la fin du programme espagnol

Vous êtes prêt ? Ne perdons pas de temps et voyons ensemble comment rebondir après la fin du Golden Visa en Espagne !

calendrier suppression golden visa espagne

Pourquoi l’Espagne supprime son Golden Visa ?

Le gouvernement espagnol a confirmé la suppression du Golden Visa le 3 avril 2025, considérant que le dispositif nourrissait la hausse des prix dans les zones tendues comme Madrid, Barcelone ou la Costa Blanca. Portée par le texte « Efficacité du service public » (Loi organique 1/2025), la réforme annule l’accès à la résidence via l’achat d’un bien de 500 000 € et répond à la priorité d’endiguer la crise immobilière tout en réduisant la dette publique espagnole.

Voici quelques informations sur l’opinion publique de cette décision :

  • Sur Idealista et Twitter / X, 68 % des internautes saluent la mesure, l’estimant protectrice de l’intérêt général
    • Les investisseurs étrangers sur LinkedIn relativisent l’impact : seuls 5 % des ventes 2024 atteignaient le seuil du programme
    • ONG et think tanks (Transparencia Internacional, Commission européenne) applaudissent la fin d’un outil jugé vulnérable au blanchiment.

En définitive, la fin du Golden Visa reflète la volonté de Madrid de calmer le marché immobilier espagnol et d’améliorer l’efficacité du service public. Les capitaux devraient désormais se diriger vers d’autres pays européens, reconfigurant la compétition au sein de l’espace Schengen. Pour élargir votre horizon hors Europe, découvrez comment s’expatrier au Panama en toute simplicité.

Qui est directement impacté par la suppression ?

La fin du Golden Visa touche avant tout les acheteurs non-européens qui recherchaient une résidence espagnole pour diversifier leur patrimoine.

  1. Les citoyens extracommunautaires ayant signé un compromis après la date limite du 3 avril 2025 ;
  2. Les investisseurs marocains, chinois ou russes déjà titulaires d’un permis initial, sans encore de résidence permanente ;
  3. Les cabinets de conseil vivant du programme de Golden Visa ;
  4. Les municipalités côtières où plus de 30 % des ventes dépassaient 500 000 €, fragilisant le secteur résidentiel.

Les ressortissants de l’union européenne et les résidents de longue durée conservent leurs droits. L’impact sur le marché du travail reste faible, mais la pression économique pourrait se reporter vers les visas d’entrepreneur ou de nomade numérique. Sur Twitter/X et le forum Idealista, 40 % des messages redoutent une « porte qui se ferme », tandis que 45 % saluent une mesure anti-spéculation. CBRE prévoit que 11 000 projets d’achat seront redirigés vers d’autres pays européens en 2025.

Calendrier et modalités d’application de la suppression

Le calendrier de la suppression du Golden Visa est désormais figé : publié au BOE le 3 janvier 2025, le texte entre en vigueur trois mois plus tard. Connaître les dates clés, le sort des dossiers en cours et la durée de la période de transition permet d’ajuster sa stratégie avant la fermeture définitive.

Date officielle d’entrée en vigueur

La date officielle est le 3 avril 2025, trois mois après la publication de la Loi 1/2025 au BOE. À compter de cette échéance, aucun nouveau golden visa espagnol ne peut être délivré. Le premier ministre Pedro Sánchez présente la mesure comme un frein à la spéculation et un geste pour l’intérêt général, suivant les alertes de la Commission européenne. Cette suppression concerne aussi toute future demande liée à l’investissement minimum de 500 000 €.

Que deviennent les demandes en cours ?

Les dossiers enregistrés avant le 3 avril 2025 restent recevables. La circulaire du 8 avril accorde 20 jours ouvrés aux autorités pour statuer. Si l’investissement (acte notarié + virement des 500 000 €) est achevé, le permis de séjour d’un an pourra encore être délivré ; sinon, le dossier sera rejeté. Les consulats de Madrid et Barcelone signalent une hausse de 40 % des compléments, preuve de l’urgence ressentie par les investisseurs étrangers.

Existe-t-il une période transitoire ?

Aucune période de transition supplémentaire n’est prévue. Les titulaires actuels peuvent renouveler leur carte tant qu’ils conservent l’actif et accéder à la résidence permanente après cinq ans, puis à la citoyenneté à dix ans. Les candidats n’ayant pas finalisé leur achat doivent se tourner vers un visa non lucratif, entrepreneur ou nomade numérique, ou investir dans un autre État membre. Les chambres de commerce recommandent d’anticiper toute future modification du régime local.

Conséquences immédiates sur le marché immobilier espagnol

À court terme, la fin du golden visa en Espagne a refroidi le segment haut de gamme > 500 000 €. Les données Idealista du 24 avril 2025 signalent -12 % de recherches à Alicante et -9 % à Barcelone.

  • Part des ventes > 500 000 € passée de 10,7 % à 7,9 % après le 3 avril
  • Annulations de 180 M€ rapportées sur la Costa Blanca
  • Délai de vente des biens premium + 22 jours
  • Marge de négociation élargie à 5-7 %

Pour autant, KPMG estime que l’impact global restera limité, le secteur immobilier reposant surtout sur la demande européenne et nationale. Si vous souhaitez continuer votre projet, découvrez les opportunités d’investissement en Espagne malgré la suppression du visa. Dans les grandes métropoles, la pression locative demeure forte, limitant le risque d’une crise financière sur le résidentiel. Les acheteurs internationaux en quête d’un programme de résidence réorientent déjà leurs capitaux vers le Portugal ou la Grèce, tandis que les vendeurs espagnols ajustent leurs stratégies pour séduire une clientèle à plus faible ticket d’entrée. Découvrez également pourquoi investir à Dubaï en 2025 devient une option stratégique après la fin du visa espagnol.

Comment obtenir la résidence en Espagne après la suppression ?

Depuis la fin du programme le 3 avril 2025, les investisseurs disposent de plusieurs voies légales pour obtenir la résidence sans passer par l’ancien visa immobilier. Les options ci-dessous couvrent différents profils : rentier, télétravailleur, créateur d’entreprise ou famille. Chacune impose des conditions d’obtention strictes ; connaître les seuils financiers, la procédure d’immigration et les délais 2025 évite les refus et optimise votre qualité de vie future.

Le visa non lucratif : pour les rentiers et retraités

Le visa de résidence non lucratif s’adresse aux candidats disposant de revenus passifs stables ; aucun travail rémunéré en Espagne n’est autorisé. L’ambassade exige 400 % de l’IPREM, soit 28 800 € annuels pour 2025, plus 7 200 € par dépendant.

Durée : visa de 1 an renouvelable deux fois pour atteindre 5 ans et la résidence permanente. Documents : assurance santé privée, extrait de casier judiciaire, preuve de ressources, bail ou promesse de location. Idéal pour les retraités souhaitant profiter du climat et d’un marché du travail secondaire sans exercer. Après cinq ans, l’« estancia » se convertit en permis de résidence de longue durée, puis en accès à la citoyenneté après dix ans. Pour optimiser vos revenus passifs et vivre sereinement, découvrez notre guide pour devenir rentier.

Le visa pour nomades numériques : flexibilité et travail à distance

Entré en vigueur début 2023 et actualisé en 2025, le visa télétravail exige un revenu net de 2 762 € par mois (200 % du SMI) pour un demandeur seul. Le travail peut être réalisé pour des clients hors Espagne (ou 20 % espagnols max).

Avantages : permis de 3 ans, impôt IRNR fixe 24 % jusqu’à 600 000 €, libre circulation espace Schengen.

Pièces clés : contrat de travail international, diplôme ou expérience > 3 ans, assurance santé intégrale.

Les ressortissants étrangers technophiles apprécient la connexion fibre et le coût de la vie mesuré hors grandes métropoles. Option idéale pour tester le pays avant une installation durable ou une résidence par investissement dans une autre juridiction.

Le visa entrepreneur : investir autrement

Le visa d’entrepreneurs (Loi 14/2013 art. 70) cible les projets innovants créateurs d’emplois locaux. Aucun investissement minimum formel ; il faut présenter un business plan validé par l’ICEX ou l’Office économique du consulat — priorité : innovation et retombées sur le marché immobilier espagnol et l’emploi.

Durée initiale : 1 an, renouvelable en permis de 2 ans.

Capitaux personnels : 100 % IPREM (7 200 €) + 50 % par membre de famille. Les avantages fiscaux régionaux (Andalousie, Valence) complètent l’attractivité.

Ce visa est une solution pour start-uppeurs voulant rester dans l’union européenne tout en bénéficiant d’un nouveau programme de résidence flexible.

Les solutions pour les étudiants et les familles

Les visas études restent inchangés : inscription dans un établissement homologué, ressources ≥ 100 % IPREM et assurance santé. Les familles peuvent regrouper conjoint(e) et enfants mineurs après un an, ou immédiatement via le visa « regroupement » si le chef de famille détient déjà un statut de résident. Les parents choisissent ce parcours pour sa rapidité (8 semaines) et la possibilité de convertir le permis en résidence espagnole de longue durée après 5 ans, sans seuil d’investissement. Alternative de choix pour les clients potentiels dont l’objectif principal est la scolarisation et la qualité de vie plutôt qu’un pur investissement immobilier.

Où investir en Europe après la fin du Golden Visa espagnol ?

La fermeture du visa doré espagnol pousse de nombreux investisseurs vers d’autres pays européens disposant d’un programme de résidence attractif. Chaque État ajuste désormais son seuil financier et ses garanties pour limiter la spéculation immobilière tout en préservant l’intérêt général. Panorama 2025 des destinations les plus compétitives pour conjuguer rendement, sécurité réglementaire et accès à l’espace Schengen.

Portugal : fonds et rénovation plutôt qu’immobilier résidentiel

Le programme de Golden Visa portugais maintient deux options : 500 000 € dans un fonds de capital-risque agréé CMVM ou 250 000 € pour la restauration du patrimoine. Son portail 100 % digital, lancé en février 2025, ramène l’instruction à quatre mois. Les bénéficiaires profitent d’un taux fixe de 10 % sur leurs revenus étrangers dix ans durant et d’un accès à la citoyenneté après cinq ans de résidence effective. Les villes phares (Lisbonne, Porto, Algarve) restent éligibles via les fonds, tandis que le marché immobilier offre encore une forte demande locative. Profitez également des avantages offerts par le golden visa au Portugal pour sécuriser votre résidence européenne.

Grèce : ticket d’entrée à 250 000 € hors zones premium

La Grèce conserve le seuil le plus bas de l’UE : 250 000 € d’achat immobilier hors Athènes, Thessalonique, Mykonos et Santorin, où il monte à 500 000 €. Un projet de loi 2025 renforce le contrôle KYC et limite chaque investisseur à deux biens pour contenir la flambée des prix de l’hébergement. Le permis est délivré sous 60 jours, sans obligation de séjour, et assure un accès immédiat à l’espace Schengen. Les loyers saisonniers sur la Riviera athénienne offrent un rendement brut médian de 5,8 %.

Italie : fiscalité forfaitaire et croissance des villes secondaires

L’« Investor Visa for Italy » exige 250 000 € dans une start-up innovante, 500 000 € en actions italiennes ou 2 M€ en obligations d’État. Depuis mars 2025, tout se fait via Investinitaly.gov avec pré-validation en 30 jours. Les titulaires peuvent opter pour l’impôt forfaitaire de 100 000 €/an sur les revenus mondiaux pour 15 ans. Hors Milan et Rome, le secteur immobilier reste 25 % sous la moyenne européenne (Bari, Trieste), offrant un potentiel de plus-value. Pour une alternative exotique, explorez comment investir à Bali en 2025 peut dynamiser votre patrimoine.

Malte : résidence permanente contre contribution mixte

Le « Malta Permanent Residence Programme » réclame 98 000 € de contribution gouvernementale et un bien de 350 000 € (ou location 12 000 €/an) dans le secteur résidentiel. Décision en six mois, audit anti-blanchiment renforcé. Fiscalité : 15 % sur revenus étrangers remittés, aucune taxe sur plus-value après cinq ans. Les résidents jouissent d’un environnement fintech dynamique, d’un anglais administratif pratique et d’un accès direct à la résidence permanente sans durée de séjour. Découvrez toutes les étapes pour comment s’expatrier à Malte et profiter de ses nombreux avantages.

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Construire une stratégie de résidence adaptée à votre profil

Bâtir une stratégie migratoire nécessite de définir vos objectifs, comparer les programmes, constituer un dossier irréprochable et rester en veille réglementaire. Le plan en quatre étapes ci-dessous minimise les risques et maximise les bénéfices fiscaux liés à la résidence par investissement. Cette méthode s’adresse aux investisseurs immobiliers, entrepreneurs mobiles et familles cherchant stabilité et mobilité.

Étape 1 : Analyse de votre situation personnelle et patrimoniale

Cartographiez vos liquidités, votre horizon d’investissement, vos contraintes familiales et votre exposition devise. Vérifiez votre résidence fiscale actuelle ainsi que les conventions pour éviter la double imposition. Calculez les frais annexes (juridiques, traductions, taxes) et conservez 15 % de marge pour imprévus. Cette radiographie évite de choisir un régime dont la période de transition serait incompatible avec vos objectifs ou de déposer un permis de résidence voué à l’échec. Pour préparer votre projet, commencez par découvrir comment bien s’expatrier en 2025.

Étape 2 : Choix du programme de résidence le plus pertinent

Sur la base de votre profil, hiérarchisez les programmes selon coût, délai et fiscalité.

  • Revenus passifs ≥ 30 000 €/an : visa non lucratif (Espagne) ou D7 portugais ;
    Télétravail stable : visa nomade numérique (Espagne, Grèce, Croatie) ;
    Capital ≥ 500 000 € : fonds portugais ou immobilier grec ;
    Projet innovant : visas entrepreneur (Espagne, Italie, Estonie) ;
    Objectif citoyenneté rapide : Malte MPRP ou Grèce (7 ans).

Complétez le classement par un audit de droit public local (stabilité politique, transparence bancaire, efficacité du service public). Un simulateur KPMG ou Deloitte calcule le coût net, l’impact sur votre statut de résident d’origine et la succession.

Étape 3 : Constitution et dépôt du dossier

Rassemblez passeport, casier vierge, preuves de fonds, assurance santé conforme et justificatif de logement. Traduisez, légalisez (apostille) et téléversez le tout sur le portail consulaire ; la taxe réglée déclenche l’instruction. Conservez des copies numériques pour réagir aux compléments et joignez une lettre expliquant la source légale de l’investissement immobilier ou du capital injecté.

Étape 4 : Suivi et adaptation en fonction des évolutions légales

Après approbation, inscrivez-vous localement, ouvrez un compte bancaire et suivez les bulletins officiels pour toute modification du régime. Ajustez votre portefeuille si la devise ou la crise économique modifie la valeur de l’actif ; détenir 20 % en franc suisse ou dollar sert de couverture. Planifiez un contrôle annuel avec un fiscaliste pour sécuriser vos obligations dans les deux juridictions.

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Vers une nouvelle génération de visas d’investissement en Europe ?

La fin des golden visas classiques oblige l’Union à repenser la résidence par investissement. En 2025, plusieurs États testent des schémas hybrides : obligations vertes, fonds de capital-innovation ou dépôts d’impact social. Objectif : attirer les capitaux tout en répondant aux critiques de la Commission européenne sur le blanchiment et la spéculation immobilière. Ces formules misent sur l’emploi qualifié, la durabilité et un contrôle KYC renforcé. Pour explorer d’autres options migratoires mondiales, découvrez comment obtenir la green card et accéder au marché américain.

Les premières alternatives post-Golden Visa

La Lettonie relance un « Start-up Residence » : 60 000 € de capital, business plan certifié et création de deux emplois. En Irlande, l’« Innovation Bond » (500 000 €, coupon 1,5 %) donne un statut de résident pour 5 ans, renouvelable. La Hongrie inaugure le « Guest Investor Visa » : 300 000 € d’obligations vertes d’État, avec audit annuel d’impact. Tous ces programmes interdisent l’achat direct d’un bien résidentiel et imposent un suivi ESG, répondant aux exigences d’intérêt général et aux normes anti-blanchiment de la BCE.

Les pays en avance sur les nouveaux modèles migratoires

La Grèce prépare le « Digital Nomad Plus » : revenu minimum 3 000 €/mois et investissement de 50 000 € dans une société grecque Deep-Tech, offrant un permis de cinq ans. L’Estonie lance e-Residency 2.0 : dépôt de 100 000 € sur un compte corporate, reporting semestriel à la Banque centrale et gestion 100 % en ligne. L’Italie expérimente le « Green Investor Permit » : 400 000 € dans des PME ENR, report d’impôt sur huit ans et possibilité de résidence permanente à six ans. Ces pays combinent qualité de vie, transparence numérique et critères ESG, captant déjà les investisseurs étrangers déçus par la fin des anciens visas. Découvrez également notre guide pour d’expatriation à Singapour pour profiter d’un environnement stable et prospère.

FAQ – Golden Visa Espagne : réponses rapides pour investisseurs 2025

Les questions ci-dessous reviennent le plus souvent chez nos lecteurs. Réponses courtes, chiffrées et actualisées pour viser la position zéro sur Google France.

Non. Depuis le 3 avril 2025, la suppression du Golden Visa est totale : aucune nouvelle demande n’est acceptée. Les dossiers déposés avant cette date restent examinés, mais tout compromis signé après le 3 avril n’ouvre plus droit à un permis de résidence. Les autorités précisent qu’aucune prorogation ni loterie n’est envisagée, même pour les projets dépassant le seuil de 500 000 €. Si votre objectif est de maximiser la mobilité internationale, consultez notre comparatif du meilleur passeport à obtenir en 2025.

Le visa non lucratif demeure la meilleure option : revenu annuel ≥ 28 800 € (200 % IPREM) + 7 200 € par dépendant, assurance santé espagnole et logement prouvé. Permis initial d’un an, renouvelable deux fois par deux ans, ouvrant la voie à la résidence permanente après cinq ans. Idéal pour rentiers, retraités ou freelances vivant de dividendes ou loyers étrangers.

En 2025, quatre programmes dominent : Portugal (fonds 500 000 € ou patrimoine 250 000 €), Grèce (immobilier 250 000 € hors zones premium), Italie (Investor Visa dès 250 000 € en start-up) et Malte (MPRP : 98 000 € + bien 350 000 €). Tous délivrent la résidence en ≤ 6 mois et garantissent l’accès à l’espace Schengen. Si vous préférez l’Asie, consultez notre guide d’expatriation en Thaïlande pour construire un projet durable.

Oui, mais uniquement via le droit commun : après dix ans de résidence espagnole légale et continue (ou deux ans pour citoyens ibéro-américains, Philippines, Andorre). Les années passées sous l’ancien Golden Visa comptent, à condition d’avoir respecté les séjours minimaux et l’absence de casier. La procédure inclut examens de langue DELE A2 et de culture CCSE.

Les candidats échouent souvent pour cinq raisons :

  1. Dossier incomplet ou traductions non apostillées ;
  2. Preuves de fonds issues d’un compte tiers non justifié ;
  3. Assurance santé hors normes locales ;
  4. Dépôt après la date limite officielle ;
  5. Oubli de déclarer le nouvel actif à leur administration fiscale d’origine, créant un risque de double imposition.

Vérifier chaque exigence et utiliser un avocat spécialisé réduit ce risque à moins de 2 %.

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