Vous rêvez de changer de vie en 2025 et de découvrir une destination où la douceur de vivre se mêle à un coût de vie attractif ? Expatrier à Bali vous offre un cadre idyllique, avec un climat tropical, une culture riche et des opportunités d’investissement intéressantes.
Pour s’expatrier à Dubaï, il faut d’abord choisir le visa qui correspond à votre profil, préparer un dossier complet (justificatifs d’identité, de revenus, etc.) et suivre scrupuleusement les démarches administratives via les plateformes officielles, idéalement avec l’accompagnement d’un expert local.
Dans ce guide vous découvrirez :
- Les types de visas et leurs critères
- Les démarches administratives et les délais d’obtention
- Les astuces pour réussir votre expatriation et optimiser votre installation
Prêt à explorer de nouveaux horizons ? Suivez le guide pour tout savoir sur l’expatriation à Bali en 2025 !
Pourquoi de plus en plus de Français s’installent à Bali ?
Pour de nombreux français à bali, l’attrait principal réside dans le climat tropical qui garantit chaleur et soleil quasiment toute l’année. En plus de cette météo clémente, l’île propose un mode de vie décontracté, ponctué de coutumes locales fascinantes. Sur place, le coût de la vie reste globalement inférieur à celui des pays occidentaux, permettant de profiter d’un confort appréciable sans exploser son budget. Par ailleurs, Bali est une destination touristique depuis des décennies : on y trouve donc toutes les infrastructures nécessaires, ainsi qu’une foule de services pratiques pour faciliter l’expatriation à Bali.
- Communautés d’expatriés dynamiques : vous rencontrerez aisément des compatriotes ou d’autres profils internationaux, constituant un réseau de soutien
- Culture balinaise et spiritualité omniprésente : entre offrandes quotidiennes, cérémonies religieuses et temples à Bali, impossible de ne pas être immergé dans cet univers coloré
- Douceur de vivre : entre rizières verdoyantes, fêtes locales et activités sportives, chacun découvre rapidement son propre style de vie
- Cuisine variée, hébergements pour tous les budgets et population accueillante : autant d’ingrédients qui donnent envie de découvrir Bali sur le long terme
Quels visas pour vivre à Bali ?
Bali fait partie de l’archipel indonésien, où le gouvernement indonésien propose plusieurs formules de séjour selon vos projets. Que vous envisagiez un simple voyage à bali prolongé ou une installation durable, vous devrez impérativement obtenir un visa adapté, sous peine de rencontrer des difficultés administratives ou légales.
Les principaux types de visas
Les étrangers souhaitant vivre sur l’île de bali disposent de différents type de visa :
- Visa On Arrival ou B211A : initialement touristique, il peut être étendu pour un séjour de 30 à 60 jours, parfois plus
- Visa socio-culturel (souvent appelé visa social) : utile pour rendre visite à la famille, étudier la langue ou faire du bénévolat
- KITAS / KITAP : forme de visa de travail ou de permis de séjour longue durée, généralement délivré pour les salariés, les indépendants ou les conjoints d’Indonésiens
Chacune de ces options impose des formalités administratives distinctes. Le KITAS correspond plutôt à un séjour d’un an renouvelable, tandis que le KITAP vise la résidence permanente. Il est vivement recommandé de consulter un agent spécialisé ou une agence pour clarifier les critères exacts.
Quelle solution choisir selon votre profil ?
Le choix d’un visa pour résider à Bali dépend étroitement de votre situation et de votre projet :
- Salarié : rejoindre une entreprise indonésienne et obtenir un KITAS sponsorisé
- Indépendant, nomade digital : opter pour un visa B211A prolongé, ou tenter d’obtenir un KITAS spécifique (preneur d’emploi, etc.)
- Retraité : privilégier un visa spécial retraite à bali, exigé pour les plus de 55 ans remplissant certaines conditions pour vivre sur l’île
- Étudiant / Volontaire : recourir à un visa socio-culturel si vous participez à un programme d’échange ou de bénévolat
Dans tous les cas, un sponsor local (personne ou société) est souvent nécessaire pour expatrier à bali légalement. Prenez donc soin de bien préparer votre dossier selon vos projets.
Procédures, délais et renouvellements
Chaque visa pour expatriés requiert du temps et un certain budget. Les durées varient :
- Visa On Arrival : 30 jours renouvelables une fois
- B211A : séjour de 60 jours, prolongeable plusieurs fois (jusqu’à six mois)
- KITAS : valable un an, renouvelable jusqu’à cinq fois avant d’envisager un KITAP
Les coûts fluctuent en fonction des démarches à suivre. Au-delà des frais gouvernementaux, prévoyez des honoraires pour l’agence ou le sponsor qui vous accompagne. Les délais d’approbation sont en général de deux à quatre semaines, sauf situations complexes. Pour le renouvellement, il convient de respecter les échéances imposées par l’immigration ; tout retard se solde par des amendes ou, pire, un risque de refoulement à la frontière.
Les démarches pour s’expatrier à Bali en toute légalité
Pour une installation réussie, il faut honorer plusieurs obligations légales locales. Le marché du travail indonésien étant encadré, le gouvernement indonésien vérifie notamment la cohérence entre votre visa et vos activités sur place.
- Obtenir un sponsor local : la loi exige qu’une personne morale (entreprise, association) ou parfois un individu vous garantisse, selon le type de visa
- S’inscrire auprès des autorités indonésiennes : une fois votre KITAS ou visa validé, vous devrez vous présenter à l’office d’immigration et éventuellement à la police locale, surtout si vous comptez rester une grande partie de l’année
- Ouvrir un compte bancaire en Indonésie : étape essentielle pour recevoir des salaires, régler vos factures ou déposer vos économies
- Se déclarer au consulat de France : afin de bénéficier d’une protection consulaire et de simplifier d’éventuelles procédures administratives (perte de passeport, élections, etc.)
Veillez à rester en règle, car les autorités peuvent effectuer des contrôles aléatoires sur les étrangers.
Quel budget prévoir pour vivre à Bali ?
Avant de installer à bali, il est crucial d’évaluer précisément vos dépenses. En 2025, Bali demeure abordable, mais tout dépend de votre style de vie (logement, loisirs, déplacements). Les tarifs évoluent également selon la zone : le sud de bali (Canggu, Seminyak) s’avère plus coûteux que l’intérieur des terres. De plus, prendre en compte d’éventuels frais de soins de santé, de scolarité ou de transport est indispensable pour établir un plan financier solide. Voici un aperçu actualisé des dépenses à anticiper pour vivre confortablement.
Coût de la vie mensuel
Les dépenses mensuelles varient selon vos choix et habitudes. Un couple de digital nomads ou un retraité solitaire n’auront pas la même enveloppe. Voici les principaux postes :
- Logement : entre 3 000 000 et 10 000 000 IDR (soit environ 180 à 600 EUR) selon le standing
- Alimentation : compter 2 000 000 à 4 000 000 IDR par personne pour un panier mixte (marchés locaux et supermarchés)
- Transport : l’essence reste bon marché, mais l’achat ou la location d’un scooter doit être budgété
- Loisirs et restauration : cafés branchés, restaurants internationaux, etc., de 1 500 000 à 3 000 000 IDR mensuels
En tenant compte des variables, un budget de 900 à 1 400 EUR par mois peut suffire à une vie correcte, hors dépenses de luxe.
Dépenses imprévues
Même si l’île des dieux séduit par son ambiance détendue, il est sage de prévoir des frais inattendus :
- Santé : en cas d’accident ou de maladie, les services médicaux privés sont de meilleure qualité mais onéreux
- Visa : renouvellements, extensions, frais d’agence
- Réparations du scooter ou de la voiture, surtout avec l’état des routes balinaises
- Voyage d’urgence vers un hôpital mieux équipé à Jakarta ou Singapour en cas de problème grave
Prévoyez donc un matelas financier d’au moins 1 000 EUR ou 15 000 000 IDR pour faire face à tout imprévu. Mieux vaut également souscrire une assurance digne de ce nom afin d’assurer une prise en charge optimale.
| Poste de dépense | Coût mensuel (IDR) | Coût mensuel (EUR) | Observations |
|---|---|---|---|
| Logement | 3–10M | 180–600 | Varie selon localisation et confort |
| Alimentation | 2–4M | 125–250 | Repas locaux vs. restaurants internationaux |
| Transport (scooter, etc.) | 500k–1M | 30–60 | Entretien, essence peu cher |
| Loisirs & sorties | 1,5–3M | 90–190 | Bars, cafés, excursions |
| Divers & imprévus | 1M+ | 60+ | Santé, urgences, renouvellements visa |
Se loger à Bali : où et comment trouver son logement ?
Le logement à bali se décline en plusieurs formules. Certains expatriés optent pour des villas avec piscine, parfois partagées en coliving, tandis que d’autres préfèrent de petites maisons locales ou même des chambres d’hôtes à l’année. Les quartiers prisés varient selon les attentes : ambiance nocturne, proximité des plages, ou tranquillité au milieu des rizières. Voici quelques pistes pour y voir plus clair :
- Villas avec piscine : idéales pour un confort maximal, budgets plus élevés
- Chambres en coliving : solution abordable pour faire des rencontres et diminuer les charges
- Maisons locales : immersion dans la culture balinaise, loyers plus faibles, mais confort parfois sommaire
- Principales zones : Ubud (centre spirituel et centre culturel), Canggu (surf et coworking), Seminyak (vie nocturne), Sanur (plus calme, familial)
Côté contrats, méfiez-vous des avances trop élevées ou des baux peu clairs. Louer au mois offre une flexibilité, mais revient souvent plus cher à long terme. Louer à l’année exige un paiement intégral dès le départ, ce qui peut être un frein pour certains budgets.
Peut-on travailler à Bali ? Ce qu’il faut savoir
Malgré l’image de l’île paradisiaque, la situation économique de l’Indonésie impose certaines règles pour les étrangers désirant exercer une activité professionnelle. Il est essentiel de respecter les conditions de votre visa de travail ou de votre KITAS pour éviter tout problème avec l’immigration. Découvrez ci-dessous trois options principales pour travailler à bali en toute légalité.
Travailler pour une entreprise locale
Obtenir un emploi à bali au sein d’une structure indonésienne requiert généralement un KITAS sponsorisé par l’employeur. Celui-ci doit justifier auprès des autorités qu’aucun Indonésien n’est qualifié pour occuper ce poste, ce qui limite certaines opportunités, notamment dans des secteurs peu spécialisés. Une fois validé, le contrat de travail doit stipuler votre salaire, vos avantages et vos conditions de travail. Notez que le niveau de rémunération locale est souvent inférieur aux standards européens, même si le coût de la vie y est moins élevé. Avant d’accepter un poste, assurez-vous que toutes les autorisations sont en règle pour éviter de lourdes sanctions.
Être freelance ou digital nomad
Bali attire une communauté internationale de digital nomad, séduits par le cadre idyllique et l’essor du secteur numérique. En 2025, de nombreux espaces de coworking proposent la fibre optique, facilitant les activités en ligne. Toutefois, exercer en freelance implique d’être prudent quant à votre statut légal : un visa touristique ou socio-culturel n’autorise pas officiellement le travail sur place, même si nombre de freelances optent pour cette solution sous le radar. L’alternative plus sûre consiste à demander un visa B211A “business” ou un KITAS spécifique, permettant de facturer des clients étrangers sans se heurter à l’administration. Cela dit, le cadre réglementaire peut évoluer, alors tenez-vous informé des dernières mises à jour du gouvernement indonésien. Si vous hésitez encore entre plusieurs marchés internationaux, notre guide dédié à l’investissement à Dubaï vous aidera à comparer les avantages et conditions d’implantation dans l’émirat.
Monter une entreprise à Bali
Pour créer une entreprise localement, vous devrez formaliser une structure de type PT PMA (société à capitaux étrangers) ou collaborer avec un associé indonésien. Cette démarche nécessite un certain capital de départ, ainsi que des enregistrements auprès du ministère du Commerce. Les formalités incluent la rédaction des statuts, l’ouverture d’un compte bancaire professionnel et l’obtention de licences professionnelles spécifiques. En général, la création d’une PT PMA requiert plusieurs semaines et l’aide d’un cabinet spécialisé. Une fois immatriculée, votre entreprise indonésienne peut employer des étrangers et demander un KITAS pour eux. Veillez toutefois à respecter les règles d’investissement minimal, régulièrement révisées par les autorités en fonction des secteurs. Si votre objectif est de développer un projet sur l’île, voici un guide détaillé sur comment investir à Bali en respectant les obligations locales et en maximisant la rentabilité.
Se soigner à Bali : santé, hôpitaux et assurance
Le système de santé local reflète la réalité de l’Indonésie : on trouve à la fois des structures publiques, souvent bondées et moins bien équipées, et des cliniques privées de haut niveau. Pour les expatriés, la plupart des soins de santé se déroulent dans ces centres modernes, avec des médecins formés à l’étranger, mais à des tarifs parfois élevés.
- Accès aux soins : public vs privé : dans le public, l’attente et la qualité peuvent décevoir ; dans le privé, on bénéficie d’une prestation rapide, mais coûteuse
- Meilleures cliniques et hôpitaux pour expatriés : BIMC, Siloam, Kasih Ibu… situés majoritairement dans le sud de bali et à Denpasar
- Faut-il souscrire une assurance santé internationale ? : oui, pour éviter de payer des factures astronomiques en cas d’hospitalisation prolongée ou d’opération chirurgicale
- Quels sont les coûts en cas d’urgence médicale ? : un passage aux urgences dans une clinique privée peut facilement dépasser 5 000 000 IDR (300 EUR), et l’évacuation vers Singapour ou l’Australie coûte encore bien plus
Un contrat d’assurance santé à bali (ou mondiale) est donc essentiel pour être bien couvert et limiter les risques financiers.
La vie au quotidien à Bali : ce qu’il faut savoir
Le rythme de la vie à bali est à la fois décontracté et dynamique, avec un mélange de pratiques traditionnelles et d’influences modernes. Pour vous déplacer, la plupart des résidents optent pour le scooter, en l’achetant ou en le louant au mois. Les taxis et services comme Grab ou Gojek complètent efficacement l’offre de transport. Côté budget, la monnaie locale est la roupie indonésienne ; mieux vaut toujours avoir du cash, même si les cartes bancaires sont acceptées dans les zones touristiques. L’essence demeure abordable, autour de 10 000 IDR (0,60 EUR) le litre.
- Transport : scooter, Grab, taxis – un permis spécial ou international est recommandé pour rouler en règle
- Monnaie, paiement, coût du carburant : privilégiez les distributeurs officiels, évitez de changer trop de cash dans les lieux douteux
- Langue, religion, respect des traditions locales : le bahasa Indonesia est la langue nationale, mais beaucoup parlent un anglais basique. La religion hindouiste balinaise façonne le quotidien : fêtes, cérémonies, offrandes
- Communautés francophones et lieux d’échange : cafés francophones, groupes Facebook ou associations culturelles permettent de rencontrer des compatriotes et de partager des bons plans
En s’y adaptant, on découvre un charme authentique, où la politesse et le respect rythment chaque interaction.
Avantages et inconvénients d’une expatriation à Bali
Bali étant surnommée l’île des dieux, beaucoup la considèrent comme un petit paradis terrestre. Toutefois, tout n’y est pas rose : démarches administratives, moussons et embouteillages peuvent compliquer le quotidien. Voici un aperçu des principaux atouts et contraintes à anticiper avant de franchir le pas.
Les points positifs
L’expatriation à bali séduit en raison de multiples avantages :
- Plages paradisiaques : spot de surf international, eau turquoise et sable fin
- Accès à une cuisine variée, allant du warung local jusqu’aux restaurants étoilés
- culture balinaise riche : danses traditionnelles, spiritualité, artisanat, festivals
- Communautés d’étrangers chaleureuses, entraide pour les démarches ou le networking
- Vols quotidiens depuis l’aéroport international de Denpasar, facilitant les escapades dans toute l’Asie
- Coût de la vie toujours attractif, même si les prix montent dans certains secteurs
Bali demeure un centre culturel et touristique majeur, attirant la communauté internationale et offrant une grande diversité de loisirs.
Les contraintes à anticiper
En contrepartie, certains désagréments méritent réflexion :
- La médecine privée est fiable mais onéreuse ; sans assurance santé adaptée, c’est risqué
- Les formalités pour un visa pour expatriés peuvent sembler complexes et changer fréquemment
- Le trafic est souvent saturé, notamment dans les zones touristiques : il faut s’habituer à se déplacer à bali en deux-roues
- Le climat humide peut être inconfortable pour ceux habitués à des températures plus fraîches
- L’apprentissage de l’indonésien n’est pas obligatoire mais facilite considérablement les relations avec les locaux
- La pollution grandissante en certains endroits altère l’image de carte postale
Mieux vaut étudier ces facteurs pour faire un choix éclairé et envisager une installation harmonieuse. Si vous comparez plusieurs destinations, explorez aussi les atouts d’une expatriation au Panama, reconnue pour sa fiscalité douce et ses démarches simplifiées.
FAQ – Tout savoir sur l’expatriation à Bali
Voici quelques réponses concises aux interrogations courantes que se posent les futurs expatriés. Chacune de ces explications vise à vous aider à préparer votre projet dans les meilleures conditions, en tenant compte de la réalité du terrain et des procédures officielles en vigueur.
Est-il facile de s’expatrier à Bali sans emploi ?
Oui, c’est possible grâce à un visa touristique prolongé ou un visa social, mais vous ne pourrez pas légalement travailler avec ces statuts. Il faut alors prouver des ressources suffisantes pour subvenir à vos besoins durant votre séjour. Des milliers de personnes optent pour cette formule, notamment des freelances en ligne. Toutefois, si vous souhaitez réellement exercer une activité sur place, mieux vaut demander un visa de travail ou un KITAS approprié. Sinon, vous risquez des sanctions lors des contrôles d’immigration. Pour aller encore plus loin dans le rêve d’évasion, certains investisseurs se penchent sur comment acheter une île privée afin de créer un mode de vie totalement indépendant dans un cadre exclusif.
Peut-on acheter un bien immobilier à Bali ?
La propriété foncière est strictement réglementée pour les étrangers : bali est une île d’Indonésie et la loi n’autorise pas l’acquisition totale d’un terrain par un non-Indonésien. Il existe cependant des mécanismes de “leasehold” (bail à long terme) ou de Hak Pakai (droit d’usage), souvent établis pour 25 à 30 ans, renouvelables. Vous pouvez donc louer à long terme ou passer par une structure locale. Avant tout engagement, faites-vous accompagner d’un notaire et vérifiez scrupuleusement les clauses du contrat. Pour ceux qui cherchent à investir à l’international, le choix du meilleur passeport pour investir peut faciliter les démarches juridiques et fiscales dans plusieurs pays, y compris l’Indonésie.
Quelle est la meilleure ville pour s’installer ?
Le choix dépend de vos priorités. Pour un digital nomad, Canggu et ses espaces de coworking sont recommandés. Les amateurs de nature et d’artisanat apprécieront Ubud, considérée comme le cœur spirituel de l’île. Seminyak est réputée pour sa vie nocturne dynamique, tandis que Sanur séduit les familles en quête de calme. À noter que la situation économique varie selon les zones : le secteur numérique prospère à Canggu, alors que l’hôtellerie domine à Kuta. Faites un repérage préalable pour vous décider. En Asie du Sud-Est, une autre alternative populaire est l’expatriation en Thaïlande, qui attire de nombreux retraités et entrepreneurs pour son équilibre entre confort, coût de la vie et accessibilité.
Peut-on scolariser ses enfants à Bali ?
Oui, il existe plusieurs école internationale sur l’île, principalement à Ubud, Sanur ou Seminyak. Elles proposent des programmes reconnus (anglais, français, etc.) et un encadrement adapté aux standards occidentaux. Les frais de scolarité peuvent être élevés, allant de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d’euros par an, selon le niveau et la renommée de l’établissement. Pensez aussi à l’intégration culturelle : certaines écoles encouragent fortement l’apprentissage du bahasa Indonesia et l’immersion dans les traditions locales.
Quelle est la durée maximale d’un visa ?
Cela dépend du type de visa sélectionné. Un visa On Arrival ne dépasse pas 60 jours avec extension, tandis que le B211A peut être prolongé jusqu’à 180 jours. Le KITAS, lui, est renouvelable chaque année pour une durée maximale de cinq ans, avant de basculer sur un KITAP (visa permanent). Chaque formule impose des conditions spécifiques, comme la nécessité d’avoir un sponsor ou un contrat de travail. Renseignez-vous auprès d’une agence ou d’un spécialiste pour éviter les mauvaises surprises.
Quel est le coût réel d’une vie “confortable” à Bali ?
Pour vivre “confortablement”, prévoyez au moins 1 000 à 1 500 EUR mensuels pour une personne seule, couvrant logement à bali, nourriture, transport et loisirs. Les dépenses augmentent si vous louez une villa avec piscine dans une zone touristique, ou si vous mangez souvent dans des restaurants haut de gamme. Les familles doivent également inclure la scolarisation et l’assurance santé internationale. Dans l’ensemble, Bali reste abordable en comparaison de nombreuses grandes villes du monde entier.
Bali est-elle adaptée aux familles ? Aux retraités ? Aux freelances ?
Oui, Bali fait partie des destinations idéales pour un large public. Les familles y trouvent des infrastructures (logements spacieux, écoles privées, parcs). Les seniors profitent d’un climat doux et d’un rythme de vie paisible, surtout pour une retraite à bali avec de modestes pensions. Les freelances ou digital nomad bénéficient de multiples cafés, coworkings et d’une connexion internet satisfaisante, même si la stabilité du réseau varie. Dans tous les cas, anticiper les conditions de travail et de vie évite les déconvenues.
